Réf ca0201 - J. Rebel, Carolles |
Au premier plan, la Poste, très
beau bâtiment construit en 1936 par la commune de Carolles et
cédé à l'État
en 1952. Un peu plus loin, l'ancienne Mairie-École dont nous apercevons le préau. |
Carte postale un peu
plus ancienne que la précédente et photo prise quelques
mètres plus loin, juste après la poste. |
Réf ca0005 |
Réf ca0401- J. Sorel éditeur, Rennes |
Au début du siècle, ce grand édifice construit à la fin du XIXème abritait à la fois la Mairie et l'école. Jusqu'en 1911 l'école était mixte. Après cela, elle devint l'école des garçons uniquement, une nouvelle école étant construite pour accueillir les filles, rue des Fontenelles. Sur cette carte postale, nous voyons l'ancien toit
qui a été refait depuis, en 1929. |
L'instituteur logeait également sur place sauf pendant les années qui ont suivi 1921; l'instituteur logeant avec sa femme, institutrice, dans l’école des filles, le logement fut alors loué au Brigadier des Douanes. A partir de 1946, l'école accueillit une section préparatoire au primaire qui était mixte. En 1954, l'espace étant devenu insuffisant, la Mairie fut transférée dans l'ancienne gare du chemin de fer nouvellement réaménagée. |
Réf ca0457 - Edition Morel, Carolles |
Réf ca0280 - Edition La Cigogne, Rennes |
Carte postale des années 50. Entre l'école et la maison suivante, la villa
Santa Maria où était la poste à partir de 1902,
nous voyons la cour de récréation des élèves
et le préau. |
Carte postale des années 1900. A gauche de la photo, l'épicerie tenue à ce moment là par la famille l'Hotellier. A cette époque on y vendait du tabac, à fumer, à priser et même à chiquer, ainsi que la presse. Au fond, un aperçu sur l'Hôtel des Bains et sur l'église. Au centre, quelques habitants et, à droite, une maison traditionnelle avec son toit de chaume. |
Réf ca0001- J Puel Phot |
Réf ca0393 - Laurent-Nel, Rennes |
Carte postale des années 20. Au premier plan sur la gauche, nous retrouvons l'épicerie de la carte postale précédente. Pendant la guerre de 1939-1945 elle sera tenue par Mme Dodeman puis par les soeurs Morel jusqu'en 1965. A cette date Mme Taupin transformera l'épicerie en supermarché. MM Tournière lui succéderont en 1972. |
Une autre carte postale des années 20 avec l'épicerie qui faisait encore office de bureau de tabac comme le signale l'enseigne au dessus de la porte. Cette enseigne appelée carotte était rouge foncé. Les quelques chaises qui sont sur le bas côté de la route appartenaient au commerce suivant, qui est un café. Avec son auvent ouvert, on le voit mieux sur la carte postale précédente. Après la guerre de 1939-1945, le café sera tenu par Mme Sicot, puis par MM Dien dans les années 1970. |
Réf ca0458 - Laurent-Nel, Rennes |
Réf ca0002 - ND Phot. |
A gauche de la photo, nous retrouvons l'Hôtel des Bains déjà aperçu sous une autre façade dans la visite de la grande rue. Au fond, l'Église entourée du mur de l'ancien cimetière, avant le transfert de celui-ci à la Roque au Maire, sur la route de Sartilly. Devant au centre, des charrettes à cheval, appelées tombereaux, très courantes à l'époque et cela jusqu'à l'arrivée des tracteurs dans les années soixante. |
Carte postale des années 30. Nous nous approchons de l'Eglise, ce qui nous fait découvrir un nouveau magasin, une épicerie, sur la droite. MM Gautier ont tenu l'épicerie pendant la guerre de 1939-1945 et Mme Renaud les remplaça juste après. Mme Renaud tiendra l'épicerie pendant toute la seconde moitié du siècle. Une partie du magasin, la première sur la droite, sera longtemps réservée à la quincaillerie et à l'électroménager. Le mari de Mme Renaud était, quant à lui, électricien et son atelier donnait sur la cour, à l'arrière de la maison. |
Réf ca0459 - G. Artaud éditeur, Nantes |
Réf ca0373 - Édition Duchemin, Carolles |
Cette même boutique dans les années 1910-1920 : la Maison Duchemin. Mme Duchemin vendait de l'épicerie, de la mercerie, des chaussures, et toute sorte de marchandises telle que celle exposée dehors : balais, bidons d'essence Motricine, bottes de ronce, chapeaux de paille et paniers en osier. En haut à droite de la vitrine et difficile à lire, un panneau publicitaire indique qu'on pouvait déposer des vêtements pour une teinturerie de Granville. |