Carte postée en 1919. La "tournée" du facteur. La Grande Rue commence devant l'Église, que l'on ne voit pas sur cette carte postale et qui se trouve sur la droite juste derrière le mur de l'ancien cimetière, et se termine au bas du bourg, que l'on aperçoit au fond. Elle a changé plusieurs fois de nom, Grande Rue, rue Principale, rue de la Poste. Maintenant, elle fait partie de la rue de la Division Leclerc. |
Réf ca0248 - Édition Duchemin, Carolles |
Réf ca0003 - J Puel Phot |
A gauche de la photo, l'Hôtel des Bains, un des hôtels les plus réputés de Carolles tenu par Madame Lotin, puis par la famille Gournay. Par la suite, cette partie de l'hôtel fût réaménagé pour servir de magasin au rez-de-chaussée et de maison d'habitation à l'étage. A droite, une partie du mur de l'ancien cimetière sert de panneau d'affichage. |
Quelques mètres plus bas, plein centre, la rue Principale empierrée et sans trottoir. Mieux vaut éviter de marcher sur le côté gauche de la rue lorsqu'il pleut ! |
Réf ca0249 - Charlet èditeur, Carolles |
Réf ca0006 - J Puel Phot |
Encore quelques mètres plus bas et à droite, l'Hôtel Bénit, une ancienne auberge tenue par Madame Marie Balin, fréquentée par les rouliers et devenue un hôtel réputé de Carolles. En plus de gérer l'hôtel, Mr Bénit était également voiturier. Pour cela il utilisait une calèche à cheval.
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Carte postée en 1907. Le départ du courrier, une des plus belles cartes postales de Carolles. Pas moins de 17 personnes dans la diligence plus le courrier, les bagages
et un vélo.
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Réf ca0352 - J Puel Phot |
Réf ca0125 - La C.P.A |
Carte postée en 1910.
Dautres curieux en costume et canotier ou bien en blouse bleue ou blanche sont sortis admirer le bolide. |
Très belle carte postée en 1904 avec deux jeunes gens en uniforme et une jeune femme qui se protège du soleil, comme il se devait à l'époque, avec son ombrelle. A gauche de la rue, l'Hôtel Bénit. |
Réf ca0008 - La C.P.A. |
Réf ca0099 - Geoffroy-Choinel, Granville |
Carte antérieure à 1902, soit la plus ancienne de cette série sur la Grande Rue. Sur la gauche de la rue, l'Hôtel Bénit dont le personnel a posé pour la photo. La première maison sur la droite abrita le bureau de Poste comme nous pouvons le voir sur la carte suivante. |
Le bureau de Poste en 1919. D'abord installé près de l'école des garçons, le bureau de Poste a été transféré dans cette grande maison en pierre. Il fut déplacé une nouvelle fois en 1936, date de la construction du bureau de Poste actuel. Comme nous pouvons le voir sur l'enseigne à l'avant du bâtiment, à cette époque là et jusqu'en 1991, nous ne disions pas La Poste mais les P.T.T. (Poste, Télégraphe et Téléphone puis Poste, Télécommunication et Téléphone). En 1988, la partie télécommunications devint autonome sous le nom de France Télécom. |
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Réf xv0064 - Édition Duchemin, Carolles |
Nous sommes arrivés au bas du bourg d'où nous avons une vue d'ensemble sur la rue principale. A droite, un mur en ruine que nous pouvons mieux voir en cliquant ici. |
Réf ca0353 - J Puel Phot |
Réf ca0229 - J Puel Phot |
Carte postée en 1908. Au même endroit, quelques années plus tard. A droite, le mur en ruine n'existe plus, une épicerie que nous découvrirons à la fin de cette série ayant été construite à cet emplacement. |
Carte postée en 1912. Encore au même endroit et un peu plus tard ; la végétation a légèrement poussé. |
Réf ca0354 - Charlet èditeur, Carolles |
Réf ca0011 - Charlet èditeur, Carolles |
A droite, l'Épicerie Centrale tenue successivement par les familles Charlet, François puis Charuel. Les enseignes à l'extérieur nous indiquent que l'on pouvait alors y acheter du beurre et des oeufs frais, de l'eau minérale et des conserves ainsi que du charbon. Le nom de cette maison, qui date du début du XXème siècle, est significatif du lieu puisqu'il s'agit de la Coquerie. |